Pharmacogénétique des médicaments anticancéreux : état des connaissances et des pratiques – recommandations du Réseau national de pharmacogénétique (RNPGx) - 04/04/17
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L’individualisation des traitements est particulièrement indiquée en oncologie, car les médicaments utilisés, en particulier les chimiothérapies, présentent un index thérapeutique étroit. La pharmacogénétique (PG) peut présenter un intérêt majeur en routine clinique pour l’optimisation du traitement anticancéreux, afin de limiter les effets toxiques tout en préservant une efficacité optimale. Cette revue présente l’intérêt des analyses de PG pour quelques applications principales : génotypage de la dihydropyrimidine déshydrogénase (DPD) pour les fluoropyrimidines (5-fuorouracil, capécitabine), de l’UDP glucuronosyltransférase (UGT1A1) pour l’irinotécan et de la thiopurine S-méthyltransférase (TPMT) pour les médicaments thiopuriniques. En fonction du niveau de preuve, le Réseau national de pharmacogénétique (RNPGx) a attribué trois niveaux de recommandation en faveur de ces tests pharmacogénétiques : « test indispensable », « conseillé » et « éventuellement utile ». D’autres applications, dont le niveau de preuve est encore discuté seront évoquées dans la dernière partie de cet article.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Pharmacogénétique, DPD, UGT1A1, TPMT, Anticancéreux, Oncologie
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Vol 72 - N° 2
P. 193-204 - avril 2017 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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